RÉPARTITION ACTUELLE DU NOM EN FRANCE

Essaimage des [bomor] sur le territoire français

Avec la révolution industrielle et le développement des grandes agglomérations françaises, commencèrent aussi les grands flux migratoires des travailleurs ruraux vers les villes. Les régions de la Marche et de la Basse-Marche fournirent la France entière en maçons, dont la région s'était fait une spécialité.

La plupart des migrants [bomor] furent donc tailleur de pierres, cimentiers, plâtriers, paveurs, leurs deux destinations privilégiées étant Bordeaux et surtout Paris. On trouva aussi plusieurs policiers, et ce dans plusieurs familles distinctes. Les femmes quant à elles devinrent concierges, couturières ou ouvrières. Quant aux secondes générations, celles qui naquirent dans les villes, elles fournirent aussi bien des boulangers que des comptables, des employés de bureau que des géomètres, et bien entendu, toujours des policiers...

Quelques individus ça et là...

Le nom BEAUMORD est resté largement cantonné à sa Haute-Vienne d'origine, avec une famille basée à Limoges mais sans descendance pour porter le nom ; celle de Châteauponsac, avec des représentants à plusieurs endroits du département, (mais aussi dans l'Indre, en Gironde et dans le Rhône) ; et une poignée d'individus encore mal-identifiés. Une troisième famille dont on sait peu de choses est basée en région nantaise et à Paris.

Quant aux BEAUMORT, l'une des souches bordelaises demeure encore en Gironde et en Dordogne, l'autre n'a pas eu de descendance. Deux autres BEAUMORT eux aussi sans descendance vivent encore à Saint-Etienne. A part les BEAUMORT de la Réunion (en fait cousins des BEAUMORD de Droux), et un individu non-identifié vivant en région parisienne, tout le reste des BEAUMORT fait partie de la souche parisienne, jadis émigrée de Cromac, et dont on trouve également des représentants dans le Val-de-Marne, le Lot, le Tarn... et même en Angleterre !

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